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Commandos marine
30 août 2013

Cdo "PONCHARDIER" (2015)

 

Ruban ponchardier

 

Commando-Ponchardier-1B.         commando_ponchardier

11 09 2015 - Re-création du Commando Ponchardier - 

Spécialisations: Appui aux opérations spéciales avec des vecteurs nautiques et terrestres - Emploi de la 3 D -

Clip Commando Ponchardier

IMG 1 - 2015

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IMG 51- 2/1 - Badge pour ceux qui n'ont pas effectué le STAC -

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Biographie de Pierre Ponchardier

 
1909 - 1961
 
 
 
Initialement attiré par le monde des sous-marins, puis par l’aviation embarquée, c’est dans le combat commando et au sein de troupes de choc autonomes que Pierre Ponchardier s’est révélé être un marin et un chef hors du commun.
 
Des débuts convaincants dans la résistance
Refusant la défaite et le joug du nazisme, il prend dès 1941 une place active au sein de la résistance et fonde avec son frère Dominique le réseau de renseignement SOSIE dont il coordonne la partie maritime, fournissant régulièrement aux alliés des informations et des documents d’une valeur capitale.
Organisation d’évasions, passages de frontières, convoyages, sabotages, neutralisation de membres de la Gestapo : Pierre Ponchardier devient expert en coups d’éclats et opération efficaces. C’est dans le cadre de l’opération Jéricho (évasion de deux cents résistants prisonniers de la prison d’Amiens) qu’il entre en contact avec la RAF et les SAS britanniques, dont les méthodes éprouvées vont fortement marquer son style de commandement, conjuguant efficacité et proximité avec le terrain et les hommes.
Recherché, trahi, traqué par la Gestapo et la milice, puis arrêté avec son frère, ils parviennent à s’évader en bousculant les sentinelles chargées de les garder, mettant ainsi en pratique sa devise « JAMAIS VAINCU ».
 
Les premiers marins parachutistes
Après la défaite de l’Allemagne, le commandant de l’aéronautique navale française lui confie, à sa demande, la création, l’instruction, la formation et le commandement d’un commando de parachutistes de l’aéronautique navale. Cette unité est d’abord constituée d’anciens du groupe de parachutistes de la marine, formés au combat commando et au parachutisme à Alger par des instructeurs anglais et américains. Leur mission était de désamorcer les systèmes de sabotage mis en place par les allemands dans les installations portuaires du littoral de Provence, où ils furent parachutés avant le débarquement. Début 1945, installés à Hyères, ils sont rapidement rejoints par de nombreux volontaires arrivés de tous horizons et triés sur le volet. Les directives du « Pacha » sont claires : « je veux des hommes… qui sachent se débrouiller en toutes circonstances. Un bon commando ne se fait jamais prendre et ne laisse jamais de traces ».
En février, ils partent vers l’Angleterre pour rejoindre le célèbre « Central Landing Establishment » de Ringway où ils sont brevetés parachutistes puis suivent des formations spécifiques (commando, radio, démolition…) au camp d’entraînement de Peterborough.
 
Cap sur l’Extrême Orient
C’est à bord du croiseur Suffren qu’ils quittent Toulon en juin pour rallier Madagascar puis Ceylan pour parachever leur formation commando par un stage de survie dans la jungle et d’initiation aux techniques de débarquement. Sur place, ils retrouvent d’autres français qui partagent le même état d’esprit et la même vision du combat commando : les marsouins du Corps Léger d’Intervention (CLI), jeune unité de commandos de l’armée de terre, héritière du 5 ème Régiment d’Infanterie Coloniale, auquel le commando est initialement rattaché, dès son arrivée, en août 1945. Fer de lance du Corps Expéditionnaire en Extrême Orient, le CLI est placé directement sous l’autorité du Général Leclerc.
L’alchimie est parfaite et l’alliance est vite conclue : articulé à l’identique des mythiques SAS britanniques, le commandant Ponchardier crée le SASB pour « Spécial Air Service Bataillon », unité interarmées regroupant 200 marsouins (SASB2 et B3) et 100 marins parachutistes (SASB1).
Les marsouins sont envoyés au Cachemire pour être formés au parachutisme par les britanniques alors que les marins s’entraînent assidûment en prévisions de futurs déploiements.
 
Attaquer pour ne jamais être attaqué !
La situation en Indochine se dégrade, la France compte sur ses troupes coloniales pour combattre l’insurrection indochinoise, sauver ses ressortissants et sauvegarder ses intérêts. Les commandos du SASB quittent Ceylan en septembre et embarquent pour l’Indochine sur le cuirassé Richelieu. Débarqués au cap saint Jacques le 3 octobre, ils sont transférés sur le croiseur léger Le Triomphant et remontent à 18 nœuds les 35 nautiques de méandres de la rivière de Saigon pour débarquer et prendre positon à l’entrée de la ville, encerclée par plus de 30 000 Viêt-Minh. Cette arrivée triomphale, ouvrant la voie au corps expéditionnaire, est le début réussi de l’épopée les « tigres » du groupement Ponchardier qui vont pendant plusieurs mois enchaîner coups de main et missions délicates en tous genre.
En février 1946, le groupement Ponchardier devient autonome et compte un 4 ème bataillon de marsouins, le SASB4.
Diffusant son énergie intarissable au sein de ses troupes, marsouins comme marins, coiffés de bâchis ou de bérets kakis, le commandant Ponchardier est respecté de tous.
Fin tacticien, meneur d’hommes combinant préparation minutieuse et exécution foudroyante des opérations, il impose son style, réelle « marque de fabrique », ou l’humanitaire suit immédiatement l’action d’éclat.
Le général Leclerc ne tari pas d’éloges au sujet des commandos parachutistes coloniaux du groupement Ponchardier, qu’il présente au général Juin, alors chef des armées, comme ses « meilleures troupes ». Cités à l’ordre de l’armée le 30 avril 1946, le général Juin les consacre en affirmant que « le commando Ponchardier restera pour la marine et les troupes coloniales, un magnifique exemple des plus hautes qualités guerrières pratiquées dans l’union et l’enthousiasme le plus parfait ».
Dans la mosaïque des rizières ou au cœur de la brousse, ces maîtres incontestés du baroud, de la contre guérilla, des opérations amphibies, des raids éclairs et autres coup de mains agissent en totale autonomie en milieu hostile ou prennent part à des opérations combinées complexes. Il se forgent ainsi une solide réputation et cultivent un état d’esprit « commando », véritable ciment de leur unité.
Intervenant toujours en avance de phase, de manière surprenante, leur rapidité d’action, leur capacité à utiliser des modes opératoires originaux et leur ténacité font des tigres de Ponchardier un modèle du genre, utilisant des méthodes avant-gardistes qui sont encore de nos jours enseignées et utilisées dans les unités de forces spéciales.
Volontaires et audacieux, ils appliquent sur le terrain leur devise « A LA VIE ! A LA MORT ! », reprise sur la fourragère aux couleurs de la Croix de Guerre 39-45 qui leur est attribuée en octobre 1947.
Août 1946 : c’est l’heure du rapatriement vers Toulon où un accueil magnifique leur est réservé. Entre-temps, il est décidé de constituer des unités de parachutistes de l’infanterie coloniale : c’est le commandant Dupuy, ancien chef d’état-major du groupement Ponchardier, qui est chargé de mettre en place les premiers éléments de ce qui deviendra le 5 ème Bataillon de Parachutistes de l’Infanterie Coloniale. Rapidement rejoint par nombre de ses anciens paras, ils forment le noyau dur de la relève des « tigres » en Extrême Orient et deviendront les futurs « bérets amarante ». Ils conservent la devise de Ponchardier et constitueront plus tard l’un des bataillons de la 2 ème Demi-Brigade Coloniale de Commandos Parachutistes regroupée par le Général Massu à Vannes pour former de nouveaux bataillons… avant de remettre le cap sur l’Indochine puis l’Algérie.
Marsouins et marins rallient donc leurs formations respectives ou retrouvent le monde civil. Le commando Ponchardier entre dans l’Histoire… mais ce n’est pas fini pour autant pour les commandos de la marine : rapidement les bérets verts des commandos Jaubert, François et de Montfort, formés au centre Siroco par le commandant Kieffer, prennent la suite, opérant ainsi un passage de témoin réussi !
 
Un héritage riche
Au delà des traditions, les commandos paras d’Indochine, fortement imprégnés de l’esprit des SAS d’outre-manche et rompus aux techniques du combat commando forment une même famille, quelque soit leur armée d’appartenance, et sont bien à l’origine de toutes les troupes d’élite qui, à l’heure actuelle, font encore la fierté de la France.
On disait des commandos du groupement Ponchardier qu’ils étaient « en avance d’une guerre » : interopérabilité, capacité à travailler en interarmées, maîtrise des trois dimensions, cellule renseignement intégrée au groupement. L’opinion de l’époque se vérifie aujourd’hui !
On peut sans sourciller considérer que les commandos marine parachutistes du SASB1 sont les précurseurs de l’actuel commando Hubert et de ses nageurs de combats, qui était - fût un temps - l’unique commando de marine parachutiste et qui reste à l’heure actuelle le plus bel outil de forces spéciales.
 
La boucle est bouclée
Sosie senior, Ponch’, Le Pacha, Ponpon’, le chef des Tigres et enfin le Gorille : un cortège de surnoms plus ou moins alambiqués pour un marin vraiment pas comme les autres : pilote, résistant de la première heure, parachutiste, commando, commandant de porte-avions, commandant de la DBFM en Algérie, sous-chef d’état-major général de la marine, héro de film qui trouve finalement la mort lors dans un crash d’avion, le 27 janvier 1961.
Le titre du livre « marin de métier, pilote de fortune » écrit par le Capitaine de Vaisseau Jubelin est à la mesure de l’homme : un personnage de roman, qui a pourtant bien existé !
Les plus anciens se rappellent de lui, descendant en fanfare la rue Catinat à Saigon, torse nu, pour annoncer son passage à l’aide de sa fameuse trompe, qui dans des circonstances plus fâcheuses lui servait à rappeler ses hommes… un style tonitruant, preuve d’un caractère bien trempé !
Vendredi 18 janvier 2008, une délégation de commandos marine s’est déplacée rue royale, à l’occasion de la remise du fanion du groupement de parachutistes coloniaux Ponchardier. Si les dorures du salon diplomatique de l’Etat-major semblent assez loin de l’austérité de leur milieu naturel, nos bérets verts font comme d’habitude preuve d’une faculté d’adaptation remarquable. Cette cérémonie a été marquée par le témoignage émouvant du LV ® Quenouelle*, à l’origine de ce don, sur son ancien pacha et par une allocution poignante du CEMM.
« Je suis heureux et fier que le fanion du groupement Ponchardier, décoré et embrassé il y a plus de soixante ans par le général Juin, retrouve la marine. Il occupera une place d’honneur au sein du musée de traditions de l’école des fusiliers marins, héritière du patrimoine des fusiliers marins et des commandos marine. Par votre démarche, monsieur Philippe Quennouelle, vous participez à ce devoir de mémoire auquel la Marine est si attachée. Je vous remercie pour la grandeur de votre geste. Il se situe dans le droit fil de votre engagement pour la défense de la France. Celui dont vous avez fait preuve au sein de la résistance, du groupement Ponchardier puis des forces maritimes d’extrême orient. Merci encore […]
Je souhaite souligner la constance de la qualité du travail de nos camarades commandos marine. Fidèles à l’esprit du groupement Ponchardier, ils continuent à remplir avec succès et discrétion les nombreuses missions complexes et souvent délicates qui leur sont confiées » a conclu l’amiral Alain Oudot de Dainville, accompagné du contre-amiral Pierre Martinez, actuel commandant du COS.
 
(*) : le LV® Quennouelle était à l’époque enseigne de vaisseau à l’état-major du groupement Ponchardier et ancien membre du réseau de résistance SOSIE. Son sourire lui vaut son surnom « œil de velours ».

(E/V 1 Allaire, officier de communication ALFUSCO, Lorient: 18 01 2008)

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Soyons-en assurés, le nouveau Cdo "PONCHARDIER" sera digne de son illustre prédécesseur

Le commando Ponchardier est la 7 ème unité des commandos Marine. Il est composé d'environ 150 hommes et femmes, quelques - uns d'entre eux sont des commandos Marine ayant réussi le stage commando, la majorité du personnel étant composée de marins spécialistes non issus de la spécialité de fusiliers marins. Sa mission est l'appui aux opérations spéciales dans les domaines aéromaritimes et terrestres des cinq commandos de combats de la Marine nationale: Trépel, Jaubert, de Montfort, de Penfentenyo, Hubert. Le commando Ponchardier est divisé en 4 escouades et un élément de commandement: Mer, Terre, 3 D, Moyens spéciaux.

- Escouade Mer: navigateur, pilote, tireur, mécanicien naviguant à bord de l'ECUME (Embarcation Commando à Usage Multiple Embarquable, de l'ETRACO (Embarcation de Transport Rapide pour Commandos) ou sur FUTURAS (embarcation pneumatique à gonflage rapide). Les hommes de l'escouade Mer sont capables d'assurer des raids pouvant durer plusieurs heures, voire plusieurs jours.

- Escouade Terre: elle dispose de véhicules de Patrouilles Spéciales (V P S) et de Véhicules Légers de Reconnaissance et d'appui (V L R A)  ainsi que des récents Véhicules Forces Spéciales (V S F)

- Escouade 3 D: opérations spéciales aéroportées avec la technique de pointe exclusive aux commandos Marine, le "Tarpon", consistant en un largage opérationnel à la mer avec hommes équipements et embarcations. Le commando Ponchardier a gardé la même devise que ses anciens: "À la vie, À la mort". 

 RETOUR AUX SOURCES




"Vendredi 18 janvier 2008, une délégation de commandos marine s’est déplacée rue royale, à l’occasion de la remise du fanion du groupement de parachutistes coloniaux Ponchardier.
Si les dorures du salon diplomatique de l’Etat-major semblent assez loin de l’austérité de leur milieu naturel, nos bérets verts font comme d’habitude preuve d’une faculté d’adaptation remarquable.
Cette cérémonie a été marquée par le témoignage émouvant du Lieutenant de Vaisseau Quenouelle, à l’origine de ce don, sur son ancien pacha et par une allocution poignante du CEMM.

« Je suis heureux et fier que le fanion du groupement Ponchardier, décoré et embrassé il y a plus de soixante ans par le général Juin, retrouve la marine. Il occupera une place d’honneur au sein du musée de traditions de l’école des fusiliers marins, héritière du patrimoine des fusiliers marins et des commandos marine.
Par votre démarche, monsieur Philippe Quennouelle, vous participez à ce devoir de mémoire auquel la Marine est si attachée. Je vous remercie pour la grandeur de votre geste.
Il se situe dans le droit fil de votre engagement pour la défense de la France. Celui dont vous avez fait preuve au sein de la résistance, du groupement Ponchardier puis des forces maritimes d’extrême orient. Merci encore […]

Je souhaite souligner la constance de la qualité du travail de nos camarades commandos marine. Fidèles à l’esprit du groupement Ponchardier, ils continuent à remplir avec succès et discrétion les nombreuses missions complexes et souvent délicates qui leur sont confiées » a conclu l’amiral Alain Oudot de Dainville, accompagné du contre-amiral Pierre Martinez, actuel commandant du COS".





 

Le septième commando marine sera baptisé « Ponchardier »

Le Commando Ponchardier Cdo_po10


Moment historique ! La Marine accueille une nouvelle unité de commandos marine, le commando Ponchardier, baptisé par le ministre de la Défense, M. Jean-Yves Le Drian, le 11 septembre 2015 à Lorient. Cette unité répond à des besoins spéci­fiques en termes de commandement et de  enseignement des forces spéciales. Le commando Ponchardier incarne donc le renforcement des  forces spéciales de la Marine, le changement de dimension des appuis de la Forfusco vers des  systèmes plus complexes parfaitement intégrés à la Marine et aux forces spéciales, dans un cadre  interarmées. Ils sont environ 150, commandos marine et experts à l’appui des opérations spéciales. Ils  arment les escouades de commandement, mer, terre, 3D et moyens spéciaux et sont d’ores et déjà déployés avec leurs camarades des autres unités de la Force dans le cadre des opérations du  commandement des opérations spéciales (COS) et dans les opérations de lutte contre les tra­cs illicites. Spécialement sélectionnés, formés et entraînés, les membres du commando Ponchardier font preuve  ’une polyvalence, d’une endurance et d’une technicité au cœur de l’action commando. Être  navigateur et pilote ou « gunner » sur Ecume, assurer un raid de plusieurs heures, de nuit, par mer  formée, pour amener les groupes d’assaut sur la cible en sécurité et leur fournir un appui-feu pendant  ’assaut requiert un entraînement et des compétences spéci­fiques. Inutile de leur parler de soutien, les membres du commando Ponchardier  font de l’appui opérationnel et le revendiquent !

Cœur nautique vibrant
L’escouade mer est le pilier maritime à la pointe de la technologie avec la nouvelle embarcation commando Ecume. Dix exemplaires ont été livrés au commando Ponchardier, dont huit ont été admis au service actif. Les équipages poursuivent leur montée en puissance et le commando Ponchardier est déjà paré pour les engager en opérations ! Cinq autres sont attendus d’ici mi-2016. De l’Etraco à l’Ecume, c’est un changement de dimension technologique pour l’escouade mer qui accueille ce système d’arme complexe. Si l’Etraco était une adaptation d’un vecteur civil, l’Ecume a été entièrement conçue pour répondre spéci­fiquement aux besoins des commandos marine. Au résultat, un système plus performant, plus rapide et plus modulable. Quant aux escouades terre, elle met aujourd’hui en œuvre les véhicules patrouilles spéciales (VPS) et les véhicules légers de  reconnaissance et d’appui (VLRA). Elle intégrera bientôt le nouveau véhicule forces spéciales (VFS).  Comme l’Ecume, il s’agit de passer d’équipements « adaptés » à des équipements dédiés et spéci­fiques. Entre rusticité et technique, l’escouade terre, déjà présente sur tous les théâtres d’opération du COS,  répare sa mutation.  En ce qui concerne l’escouade 3D, déjà rodée aux opérations spéciales  aéroportées, elle reste à la pointe d’une technique exclusive aux commandos marine, le « Tarpon ».  Enfin, l’escouade des moyens spéciaux concentre ses savoir-faire essentiellement dans les armes  spéciales, munitions et plongée.

Opérations à la jonction des milieux
Avec ses systèmes d’arme maritimes et terrestres et ses compétences 3D, le commando Ponchardier est la charnière commando marine des emplois en multi-organiques et interarmées. Ses systèmes et ses capacités sont interopérables avec les moyens des autres composantes de la Marine et des autres armées. Qu’il s’agisse d’opération d’aérocordage sur Ecume, d’aérolargage de ses embarcations, de tarpon sur SNA ou bâtiment de surface, de raid ou de combat motorisé terrestre, le commando Ponchardier opère à la jonction des milieux !

Le 11 septembre 2015, sur la pointe de l’Espérance face à la ville de Lorient, le ministre de la Défense a officiellement baptisé le commando Ponchardier. Devant l’ensemble des fanions des unités commandos marine réunis, devant le drapeau du 1er régiment de fusiliers marins, devant les  airs du nouveau commando et devant les descendants de Pierre Ponchardier, le ministre de la  défense a remis  au capitaine de corvette Yann Guillemot le fanion de son unité. Il y a accroché les  arques de son héritage par filiation directe au groupement autonome Ponchardier : deux citations à  l’ordre de l’armée comprenant l’attribution de la fourragère aux couleurs de la Croix de guerre 14-18  avec les olives rappelant l’engagement de 1939-1945 et la médaille de la Croix de guerre 39-45 avec deux palmes. L’ensemble des membres du commando Ponchardier réunis sur les rangs s’est ensuite vu remettre la fourragère aux couleurs de la Légion d’honneur avec les olives Croix de guerre TOE  théâtre d’opération extérieure) et médaille militaire 1939 attribuée à tous les marins des unités de commandos marine par filiation au 1er bataillon de fusiliers marins commandos et au commando Jaubert.

Source: Cols bleus

Ecume - NG

IMG 51 - 3 - Embarcation E C U M E, 9 à 11 mètres, raids à longue distance: 200 Nm à 40 noeuds, armement: 16 Cdos à bord - 

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IMG 51 - 4 - Un hélicoptère Caïman en entraînement avec une embarcation É C U M E - 

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IMG 51 - 5 - Un V P S de l'escouade Terre - 

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IMG 51 - 6 - Tireur du Cdo Ponchardier depuis un véhicule tactique -

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IMG 51 - 7 - Embarcation et commandos Marine sont largués à la mer -

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IMG 51 - 8 - L' E C U M E, système d'armes redoutables du commando Ponchardier -

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IMG 51 - 9 - Djibouti 13 06 2016 - Les hommes du Cdo "Ponchardier" s'équipent avant d'embarquer à bord d'un transall C 160 -

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IMG 51 - 10 -  2016 - Exercice à Djibouti  à bord d'un "Ecume"  - (ECPAD) - 

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IMG 51 - 11 -  2016 - Exercice à Djibouti  à bord d'un "Ecume"  - (ECPAD) - 

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IMG 51 - 12 2016 - Exercice à Djibouti  à bord d'un "Ecume"  - (ECPAD) - 

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IMG 51 - 13 2016 - Exercice à Djibouti sur un VPS - (ECPAD) - 

 

IMG 51 - 14 2016 - Exercice à Djibouti  à bord d'un "Ecume"  - (ECPAD) - 

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IMG 51 - 15 -  2016 - Exercice à Djibouti  à bord d'un "Ecume" - (ECPAD) - 

 

IMG 51 - 16 - 2016 - Exercice à Djibouti à bord d'un "Ecume" - (ECPAD) - 

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IMG 51 - 17 - Mtr Jean-Louis, chef de raid E R C -  

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IMG 51 - 18 - Maître chien à Ponchardier -

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IMG 51 - 19 - Présentation d'un "Ecume" -

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IMG 51 - 20 - Présentation d'un V P S - 

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IMG 51 - 21 - Escouade terre Ponchardier qui s'entraîne dans le Morbihan - 

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IMG 51 - 22 - Brouilleur  anti-drone portatif directionnel: Nerod RF - 

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IMG 51 - 23 - Mitrailleuse Gatling DILLON M 134 installée sur un "Ecume" - Made in U S A, calibre 7,62, 3000 coups minutes -

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IMG 51 - 24 - "Ecume" en exercice - 

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IMG 51 - 25 -  "Ecume en patrouille - 

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IMG 51 - 27 Les commandos Marine ont de nombreux véhicules à leur disposition: des embarcations de transport rapide commando ETRACO), des zodiacs, des véhicules tactiques légers: Land River Defender, des ACMAT VT4, des véhicules d'intervention cynotechnique, et des embarcartions commandos à usage multiple de nouvelle génération (ECUME NG). Ces dernières peuvent être déployées depuis des frégates, des porte-hélicoptères amphibies et même aérolarguées depuis un C 13 Hercule.

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Insigne Cdo 104667868_o.jpg (50×95) En Avril 2024 - 

LE BRAS Kevin - P/M mécanicien - Hospitalisé à Djibouti le 12 03 2024 (coma artificiel), décédé à l'H I A, Percy)

Insigne Cdo Mort en service commandé Le 28 04 2021

ROUET Alain - S/M - 

 

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Commentaires
D
Les frères Ponchardier Pierre et Dominique originaires de St Étienne ou une rue porte leur nom située dans l’ancienne usine de Manufrance un quartier très actif bien visible sur Google <br /> <br /> Un livre écrit par Dominique les pavés de l'enfer relate leurs activités dans la résistance on le trouve toujours mème en occasion sur le net .La semaine dernière remise de 21 médailles militaire AFN,au palais des des congrès situe dans cette rue,Gaël Perdriau jeune maire de st Étienne et a la suite de mon information concernant le parcourt prestigieux des frères Ponchardier a vivement regretté par ignorance du sujet de ne pas en avoir parlé dans son excellent mot d’accueil.
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