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Commandos marine
25 janvier 2021

Présentation

 

 Je porte à votre connaissance que le site à atteint aujourd'hui, le 08 03 2023: 1 628 288 pages visitées - (Pour refaire, à la patrie, sa splendeur, sa gloire et son renom)

 

Visiteurs éclairés de ce blog, si vous avez connaissance de commandos décédés (de leur belle mort) pour lesquels le sigle: D_C_D ne paraît pas, bien vouloir m'en informer: contact: balisson.jc@wanadoo.fr      MERCI

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Mes autres blogs: www.commandokieffer.canalblog.com    www.djebelzakri.canalblog.com

www.fautrigoler.canalblog.com    www.dourdy.canalblog.com

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Quelques statistiques - Merci excel -

Nombre total de marins : certifiés Cdos, non certifiés Cdos (fusiliers simples, amphibies, autres spécialités: canonniers, radios, cuistots, infirmiers, mécanos, etc...) de 1946 à 1962, campagnes de Madagascar, Indochine, A F N, Suez et ayant été affectés dans les divers commandos, soit en campagnes, soit en France = 4154.

Nombre total de certifiés commandos à l'issue d'un stage commando à Siroco = 2376, soit 59% de l'effectif global.

Toujours de 1946 à 1962, Trépel: 947 affectations - de Montfort: 979 - Jaubert: 1064 -  François: 406 - Tempête Indo: 42 (liste incomplète, manque des supplétifs) - Tempête A F N: 26 (liste incomplète, manque des supplétifs) - PC Grouco: 128 - de Penfentenyo: 946 - Yatagan: 39 (liste incomplète, manque des supplétifs) - Ouragan: 281 - Hubert: 452 - Autres commandos en Indochine: 41 - Certifiés Cdos, non affectés dans un commando: 298. Cdo Ponchardier: 142

Sur les 4154 marins qui ont été affectés dans les divers commandos, seuls, 1631 ont été brevetés parachutistes.

 

Rubans_Cdo_marine

Commandos, mes frères, ces pages vous sont dédiées. Sans haine, ces noms resteront à jamais gravés dans notre mémoire en lettres de feu, en lettres de sang


Cat-bâ, Ninh-Binh, My-Doc, Haï-Duong, Cogat, Phu Dong Duong, Boa, Son Van Nion, Dong Chi Seng, Phu Quoc, Van Chan, Tam Tam Tan, Lo Son, Cao Lan, Tassagan, Cong Dong Xa, Tinh Gia, My Son, Cho Chan, Kho An Bo, An Thoï, Dong Binh, Caï Lay, Da, Vinh Long, Hoa Than, Ho Thuong, Ha Lao, Takhek, Phu Lé, Rach Ba Lang, Cap Batagan, Suez, Zakri, Tadjéra, Rass Asfour, Djebel Rokéné, Bal El Assa, Boualam, Bou Lerhfad, Djebel M'Zi, Oued Boukiou, Djebel Goursifane, Oued Mizah, Djebel Kriar, Béni Smir, Djebel Tenissanne,  Djebel Asfer, Dar Magdad.......


                               Balisson      

 

En Indochine, de 1946 à 1954, en 8 années de guerre, les commandos marine ( François,de Montfort, Jaubert, Tempête, Ouragan) ont eu environ 104 tués sur un effectif de 1200 hommes, soit une perte de 8,66%

En Algérie, de 1955 à 1962, en 7 années de maintien de l'ordre puis de guerre, les commandos marine (de Montfort, de Penfentenyo, Jaubert, Trépel, Tempête, Yatagan, DBFM)  ont perdu environ 72 hommes sur un effectif d'également 1200, soit 6% de tués.

Pour mémoire, la légion en Indochine = 12% de pertes, et en Algérie = 10%

 

Ce site n'est pas une rubrique nécrologique, mais il me semble important de ne pas oublier tous ceux qui, soit par l'âge, soit par la maladie, nous ont quittés, nous quittent, et nous quitterons - Dernier hommage rendu à ces fiers guerriers - Une symbolique sera ajoutée à côté des photos ou à défaut au-dessus du nom - Cette symbolique est de manière anecdotique une légende "urbaine" qui spécifie que si les quatre membres de la monture touchent terre, le héros est mort naturellement - L'image représentée est celle d'un fusilier marin cavalier de la D B F M 

D_C_D 

Une autre symbolique est ajoutée pour ceux qui sont morts pour la France, "le drapeau français avec les mentions: "Mort pour la France en Indochine", Mort pour la France en A F N", "Mort pour la France en Corée" ou "Mort  en service commandé"

 

Il me manque très certainement beaucoup de données, vous pouvez me joindre par Tel au: 02 43 81 18 22 ou sur: balisson.jc@wanadoo.fr     Merci                                                                                                                                   


J'ai le devoir et l'honneur de vous signaler que ce blog a le mérite d'exister grâce à un Trépélien. S'il n'est pas la cheville ouvrière ( ce que je revendique), il en est le créateur ,et également et surtout, de temps à autre, le conseiller, car je suis en la matière un grand béotien obligé d'avoir recours périodiquement à ses services, en l'occurrence, par exemple, la page de présentation qu'il s'est empressé, derechef de corriger,et de reconstituer d'une manière plus élégante. J'ai eu le privilège de faire sa connaissance le 06 08 2008 pour fêter le millième visiteur de ce blog, aujourd'hui, le 08 11 2008 nous en sommes à 3117 pour 12048 pages visitées et le 14 12 2008:  5372 visiteurs pour 19859 pages visitées, le 13 01 2009: 7237 visiteurs pour 25441 pages visitées, le 15 02 2009 à 13H50: 10 000 visiteurs pour 32639 pages visitées, le 31 03 2009: 12773 visiteurs pour 41332 pages visitées, le 17 09 2009: 22257 visiteurs pour 71743 pages visitées et 4560 photos insérées, le 28 12 2009: 29833 visiteurs pour 93866 pages visitées, le 29 01 2010: 32280 visiteurs pour 100279 pages visitées, le 09 10 2010: 53803 visiteurs pour 155542 pages visitées - le 25 02 2011: 71358 visiteurs pour 198831 pages visitées. Au 09 08 2011: 90619 visiteurs, 246379 pages visitées, 7500 photos enregistrées - Le 29 10 2011, 100 002 visiteurs, 267595 pages visitées, à 9H - Au 13 04 2012: 124929 visiteurs, 328690 pages visitées - Au 14 06 2013: 173742 visiteurs, 453535 pages visitées - Au 14 11 2013: 191065 visiteurs, 500474 pages visitées - Au 20 10 2016: 398335 visiteurs, 1 000 443 pages visitées - Au 11 09 2019: 539308 visiteurs, 1 328 413 pages visitées -  Mais encore une fois, c'est grâce à vous tous, et je vous en félicite, que ce site en arrive à sa forme actuelle. Moi je tape seulement sur un clavier.......

Une mention spéciale également aux "NC" (nageurs de combat du commando Hubert) qui m'ont envoyé une soixantaine de photos, complétant ainsi, en quasi totalité, le trombinoscope d'Hubert. Merci les "NC".

Et pour ceux qui peuvent avoir des doutes sur une éventuelle rémunération par le biais de mon site, qu'ils se rassurent, malgré plusieurs propositions du Canada et des États - Unis (rémunération au "clic"), je n'ai pas donné suite, non point que ces propositions étaient insuffisantes ( je n'en connais pas le contenu), mais il fallait que j'accepte de la publicité qu'il m'était impossible de contrôler. Or, en matière de publicité, il faut admettre certains "dérapages", comme par exemple: des femmes cout-vêtues, ce qui peut s'avérer néfaste pour votre santé....... (je reste donc droit dans mes rangers)


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De la part de Monsieur GOARIN Patrick. fils de GOARIN Charles (stage Cdo Duquesne - 1948 - Trépel et Jaubert - décédé).

"Nous nous souvenons"

 

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Rapport de 1946 qui a déterminé la constitution de la spécialité de FUSCO à la fin de la seconde guerre mondiale. Il a vraiment structuré notre spécialité pendant plus de 50 ans.

 

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Les fourragères dans la marine nationale

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Fourragère fusilier                             Fourragère commando

Les fourragères dans la Marine nationale

1. Retour sur le droit au port de la fourragère

Au cours des conflits qui se sont déroulés au XXème siècle, cent trois unités de la marine nationale ont été distinguées par l'attribution d'une fourragère. A quelques exceptions près ces unités ont toutes rapidement disparu des listes de la flotte.

C'est pour perpétuer le souvenir de ces unités et de leurs glorieuses actions que la circulaire du 21 juillet 1936 dispose que « le droit à la fourragère appartiendra désormais à tout bâtiment de combat qui portera le nom d'un bâtiment ayant, à l'origine, bénéficié de cette distinction ».

Ultérieurement ce droit va être étendu à des unités ne portant pas le même nom mais qui, en vertu d'une décision du département, seront faites héritières « par filiation directe » de l'unité (ou des unités) ayant été initialement attributaires d'une fourragère. Il en est ainsi de l'école des fusiliers marins ou du commandement de l'aviation navale.

2. Un cas particulier : l'école des fusiliers marins

A l'issue de la seconde guerre mondiale, l'école des fusiliers marins conserve l'héritage de la brigade des fusiliers marins de 1914-1918 (6 citations). Au titre du conflit qui vient de prendre fin une décision du 25 février 1949 lui accorde celui :

    * du 1er régiment de fusiliers marins (5 citations) ;
    * du 1er bataillon de fusiliers marins commandos (B.F.M.C., 4 citations) ;
    * du régiment blindé de fusiliers marins (2 citations) ;
    * du commando parachutiste de l'aéronautique navale (2 citations).

Cet héritage représente un total de 13 citations et autorise alors les personnels de l'école à porter une fourragère à la couleur du ruban de la légion d'honneur avec deux olives

      la première à la couleur du ruban de la légion d'honneur (moitié supérieure) et aux couleurs du ruban de la croix de guerre de 1914-1918 (moitié inférieure) ;
    *
      la seconde à la couleur du ruban de la légion d'honneur (tiers supérieur), aux couleurs du ruban de la médaille militaire (tiers milieu) et aux couleurs du ruban de la croix de guerre 1939-1945 (tiers inférieur).

Ainsi sans avoir jamais figuré dans la liste des unités combattantes, l'école des fusiliers marins devenait titulaire d'une distinction sans équivalent dans l'Armée française. Aucune unité ne pouvait en effet prétendre à porter une telle olive de fourragère puisque aucune unité n'avait obtenu plus de huit citations durant la seconde guerre mondiale.

Une telle anomalie n'était pas admissible, et fut rapidement relevée par les autres armées. Cependant, ce n'est qu'en 1986 qu'une décision n° 9021 DEF du 21 février vint apporter les corrections nécessaires. Selon cette décision, l'école des fusiliers marins est désormais constituée héritière par filiation directe :
      de la brigade des fusiliers marins (6 citations 1914-1918) ;
      du 1er régiment de fusiliers marins (5 citations 1939-1945).

A ce titre les personnels de cette école portent une fourragère à la couleur du ruban de légion d'honneur avec deux olives :

      la première à la couleur du ruban de la légion d'honneur (moitié supérieure) et aux couleurs du ruban de la croix de guerre 1914-1918 (moitié inférieure) ;

      la seconde aux couleurs du ruban de la médaille militaire (moitié supérieure) et aux couleurs du ruban de la croix de guerre 1939-1945 (moitié inférieure).

La même décision institue l'école dépositaire du patrimoine du régiment blindé de fusiliers marins et du commando parachutiste de l'aéronautique navale sans que cette disposition ouvre droit au port d'une quelconque fourragère ou olive.
Depuis cette date les choses n'ont pas évolué à l'exception de l'attribution en 1996 (arrêté du 22 février, journal officiel page 4740) de la fourragère de l'ordre de la Libération.

3. Les commandos marine

Lors de leur création les commandos marine ne sont attributaires d'aucune distinction particulière puisque l'héritage de leurs anciens du 1er B.F.M.C. est dévolu à l'école des fusiliers marins.
Trois de ces commandos vont combattre en Indochine et y gagner la fourragère spéciale aux théâtres d'opérations extérieurs. Il s'agit :

Du commando Jaubert (fourragère à la couleur du ruban de la légion d'honneur avec olive aux couleurs du ruban de la croix de guerre des théâtres d'opérations extérieurs),

      des commandos de Montfort et François (fourragère aux couleurs du ruban de la médaille militaire avec olive aux couleurs du ruban de la croix de guerre des théâtres d'opérations extérieurs).
La création du groupement des fusiliers marins commandos en 1963 est suivie le 10 juillet 1964 d'une décision (n° 029 809 MA/CM) lui confiant l'héritage du commando Jaubert. Le personnel du groupement est alors « autorisé à porter, à titre collectif, la fourragère à la couleur du ruban de la légion d'honneur et comportant au dessus du ferret, une olive aux couleurs du ruban de la croix de guerre des théâtres d'opérations extérieurs ».

Les modifications relatives à l'héritage de l'école des fusiliers marins vont avoir une incidence sur la filiation du groupement des fusiliers marins commandos.

La décision n° 9021 DEF du 27 février 1986 institue le groupement, héritier du 1er B.F.M.C. et du commando Jaubert. Cette décision entraîne l'attribution de la fourragère à la couleur du ruban de la légion d'honneur avec deux olives, la première aux couleurs du ruban de la médaille militaire (moitié supérieure) et de la croix de guerre 1939-1945 (moitié inférieure), la seconde aux couleurs du ruban de la croix de guerre des théâtres d'opérations extérieurs.

Normalement, pour s'en tenir aux dispositions règlementaires, les personnels des commandos auraient dû être autorisés à porter les deux fourragères aux couleurs du ruban de la légion d'honneur et de la croix de guerre des théâtres d'opérations extérieurs.

Cette particularité, que l'on trouve également à la 13ème demi brigade de légion étrangère, est unique dans la marine.

Les personnels des formations de l'aéronautique navale titulaires de deux fourragères (flottilles 4 F, 11 F et 12 F) les portent effectivement. L'officier "Traditions" de la base des fusiliers marins et commandos interrogé sur ce point particulier n'a malheureusement pas daigné répondre à la question posée.

A la suite de la dissolution du groupement des fusiliers marins commandos, la décision n° 13523 DEF/CAB/SDBC/K du 31 mars 1994 accorde le bénéfice des dispositions existantes aux cinq commandos qui deviennent héritiers, par filiation directe, du groupement. Une nouvelle décision sera sans doute prise pour étendre ce droit au port de la fourragère au personnel du nouveau commando Kieffer récemment créé.

La liste des unités actuellement attributaires d'une ou plusieurs fourragères figure dans l'annexe 1 ci-dessous. L'annexe 2 donne la liste des unités ayant été attributaires d'une fourragère mais dont l'héritage n'a fait l'objet d'aucune transmission.

    COMMANDOS MARINE /
   Héritiers collectivement :
- du 1er bataillon de fusiliers marins commandos (1941-1945)
- du commando Jaubert (Indochine)

Médaille Militaire : Avec olive - moitié supérieure aux couleurs de la médaille militaire,- moitié inférieure aux couleurs de la croix de guerre 1939-1945

Légion d’honneur :  Avec olive aux couleurs de la croix de guerre des théâtres d'opérations extérieurs

Note : Ayant été présent au Commando JAUBERT quand cette unité fut citée deux fois, j’ai le privilège avec d’autres bien entendu  - de porter à titre personnel la fourragère aux couleurs de la croix de guerre avec agrafe « Commando Jaubert » - (Édité par LE COUSTOUR, transmis par PICCOZ)

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(Lefranc Claudine)


RUBANS_COMMANDOS

Le ruban légendé "COMMANDO MARINE" sans "S" est apparu le 18 06 1947 et le texte qui le met en place prévoit même un tiret entre le mot "COMMANDO" et le mot "MARINE". Manifestement cette variante n'a jamais été fabriquée et le premier modèle sans "S" n'a fait l'objet que d'une seule commande. Dès le troisième trimestre 1947, une mise à jour du texte du 18 Juin fait état d'un ruban portant le mot "COMMANDOS" avec un "S". Pour la petite histoire, la démarche a été la même pour l'insigne du certificat de commando. Initialement prévu être orthographié sans "S" il a été ensuite été écrit au pluriel. Regardez les deux rubans "COMMANDOS MARINE", vous constaterez que le graphisme du "C"  n'est pas identique ( brodeurs différents) ( Le Coustour).

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Il y a deux exemplaires du ruban "COMMANDO TRÉPEL", cela tient au fait que ce ruban a fait l'objet de plusieurs commandes, et ces commandes ont été réalisées par deux fabricants distincts. Conséquence: outre le fait qu'une légende est légèrement plus longue que l'autre, l'accentuation du "É" est également différente. - (Le Coustour, Lefranc)

 

Tous ces rubans légendés ont été les seuls règlementaires jusqu'au 14 12 1973, date à laquelle ont été prévus, en plus du ruban générique destiné au personnel de la base, des rubans légendés au nom particulier de chacun des commandos ( y compris le commando "François" - (Le Coustour)

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Fusilier marin - Huile sur toile de DRAX

 


Dans la paix, rien de tel pour devenir un homme, que réserve tranquille et humilité. Mais si tu entends le souffle de la guerre, durcis tes muscles, excite ton sang, cache ta loyauté sous une rage froide, enfin donne à ton regard un éclat terrifiant - Shakespeare

Comment définir les fusiliers marins ?

Y a t-il un type de fusilier marin ? C'est-à-dire ça et pas autre chose ? Les légionnaires, par exemple, ce sont des amis, des copains de baroud, mais ils ont leurs habitudes, leurs traditions à eux. Les fusiliers marins aussi. Ils sont eux et personne d'autre. En fait de traditions, ils en ont bien dans la tête, mais assez chaotiques et pas routinières pour un sou. Le courage, évidemment, depuis toujours. Mais pour le reste, on a été tellement malaxés, mélangés, tiraillés de tous les côtés qu'on a fini par être pétris d'une pâte pas ordinaire. Marins, bien sûr, mais toujours prêts à débarquer et à faire du boulot de fantassin. Alors disons ceci: un fusilier marin, c'est un fusilier marin et pas autre chose. Un fusilier marin, c'est un Monsieur. Il s'arrange toujours pour coucher dans des draps et il a toujours un pyjama dans son sac. Et de l'eau claire et du confort. Un coup de parfum n'est pas de trop, rasé comme un anglais, et il faudrait voir que le foulard, autour du cou, ne fût pas en soie. C'est la mode. Des raffinés, en somme, qui ont beaucoup voyagé, qui ont été reçus, fêtés, adulés par toutes sortes de pays et de peuples et de femmes, ce qui vous réchauffe les yeux et vous donne une certaine aisance. (Les forbans magnifiques" de Jean Bernard DEROSNE)  

 

En 1960, toutes les unités commandos deviennent unités parachutistes, donc tous les certifiés suivent le stage du brevet para.

En 1960, les commandos sont numérotés de 1 à 6, dans l'ordre: Jaubert, Trépel, François réserve, de Penfentenyo,de Montfort, Hubert.

En 1964, le CS disparaît au profit du cours de Q/M à l'issue duquel est délivré le B E  FUSCO, LE B E FUSIL n'est plus suivi du stage commando.

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HISTORIQUE DU BADGE Cdo marine1

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HISTORIQUE DU BADGE Cdo marine 10

 

 

HISTORIQUE DU BADGE Cdo marine 11

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Langage tenu par le pacha (l'O/E LOFI) du stage commando "Suffren 2" en 1947 aux récipiendaires du béret vert:

A partir de cet instant, vous allez vivre les plus belles années de votre vie. Les plus belles parce que les plus dures, les plus amicales, les plus orgueilleuses, les plus solitaires. Les plus amicales, parce que vous allez être à la vie, à la mort, entre camarades. Les plus orgueilleuses parce que, jamais autant vous aurez la fierté de votre uniforme. Les plus solitaires, enfin parce que vous allez mener, souvent en des terres lointaines, un combat d'idéal. Vous les commandos solitaires, vous êtes portés par un destin, un esprit, une certaine idée de vous-même qui vous permettra de vous manifester dans toutes vos actions. Je vous envie, j'aimerais être avec vous, ô combien!

(Tiré de l'allocution de Pierre BRICE (LE BRIS) du 20 03 2009 prononcée à l'occasion de la cérémonie de tradition du cours "Enseigne de vaisseau RAMBOZ)

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Plaque Cdos

Insigne-Beret-Instructeur-Fusiliers-Marins-et-Commandos-INDO-AFN-_1

Insigne  commando actuel des instructeurs

Insigne-Béret-Instructeur-Fusiliers-Marins-et-Commandos-INDO-AFN

Insigne commando des instructeurs: fin Indo/Algérie

Insigne-Instructeur-Centre-de-Formation-Marine

Insigne commando des instructeurs: Le plus ancien.

Les sept commandos de la Marine en 2019

 

         Nous, les vieux soldats, nous voulons le respect...

 

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 Ce que pensent et qu'écrivent nos camarades d'active

 

 


 

Tribune de nos Camarades d'Active :
 
Monsieur le Président de la République,
Mesdames et Messieurs les ministres, parlementaires, officiers généraux, en vos grades et qualités,
 
On ne chante plus le septième couplet de la Marseillaise, dit "couplet des enfants". Il est pourtant riche d'enseignements. Laissons-lui le soin de nous les prodiguer :
 
"Nous entrerons dans la carrière quand nos aînés n'y seront plus. Nous y trouverons leur poussière, et la trace de leurs vertus. Bien moins jaloux de leur survivre que de partager leur cercueil, nous aurons le sublime orgueil de les venger ou de les suivre"
 
Nos aînés, ce sont des combattants qui ont mérité qu'on les respecte. Ce sont par exemple les vieux soldats dont vous avez piétiné l'honneur ces dernières semaines. Ce sont ces milliers de serviteurs de la France, signataires d'une tribune de simple bon sens, des soldats qui ont donné leurs plus belles années pour défendre notre liberté, obéissant à vos ordres, pour faire vos guerres ou mettre en œuvre vos restrictions budgétaires, que vous avez salis alors que le peuple de France les soutenait. 
Ces gens qui ont lutté contre tous les ennemis de la France, vous les avez traités de factieux alors que leur seul tort est d'aimer leur pays et de pleurer sa visible déchéance. 
 
Dans ces conditions, c'est à nous, qui sommes récemment entrés dans la carrière, d'entrer dans l'arène pour avoir simplement l'honneur d'y dire la vérité.
 
Nous sommes de ce que les journaux ont nommé "la génération du feu". Hommes et femmes, militaires en activité, de toutes les armées et de tous les grades, de toutes les sensibilités, nous aimons notre pays. Ce sont nos seuls titres de gloire. Et si nous ne pouvons pas, réglementairement, nous exprimer à visage découvert, il nous est tout aussi impossible de nous taire.
 
Afghanistan, Mali, Centrafrique ou ailleurs, un certain nombre d'entre nous ont connu le feu ennemi. Certains y ont laissé des camarades. Ils ont offert leur peau pour détruire l'islamisme auquel vous faites des concessions sur notre sol.
 
Presque tous, nous avons connu l'opération Sentinelle. Nous y avons vu de nos yeux les banlieues abandonnées, les accommodements avec la délinquance. Nous avons subi les tentatives d'instrumentalisation de plusieurs communautés religieuses, pour qui la France ne signifie rien -rien qu'un objet de sarcasmes, de mépris voire de haine.
 
Nous avons défilé le 14 juillet. Et cette foule bienveillante et diverse, qui nous acclamait parce que nous en sommes l'émanation, on nous a demandé de nous en méfier pendant des mois, en nous interdisant de circuler en uniforme, en faisant de nous des victimes en puissance, sur un sol que nous sommes pourtant capables de défendre. 
 
Oui, nos aînés ont raison sur le fond de leur texte, dans sa totalité. Nous voyons la violence dans nos villes et villages. Nous voyons le communautarisme s'installer dans l'espace public, dans le débat public. Nous voyons la haine de la France et de son histoire devenir la norme.
 
Ce n'est peut-être pas à des militaires de dire cela, arguerez-vous. Bien au contraire : parce que nous sommes apolitiques dans nos appréciations de situation, c'est un constat professionnel que nous livrons. Car cette déchéance, nous l'avons vue dans bien des pays en crise. Elle précède l'effondrement. Elle annonce le chaos et la violence, et contrairement à ce que vous affirmez ici où là, ce chaos et cette violence ne viendront pas d'un "pronunciamento militaire" mais d'une insurrection civile.
 
Pour ergoter sur la forme de la tribune de nos aînés au lieu de reconnaître l'évidence de leurs constats, il faut être bien lâche. Pour invoquer un devoir de réserve mal interprété dans le but de faire taire des citoyens français, il faut être bien fourbe. Pour encourager les cadres dirigeants de l'armée à prendre position et à s'exposer, avant de les sanctionner rageusement dès qu'ils écrivent autre chose que des récits de batailles, il faut être bien pervers.
 
 Lâcheté, fourberie, perversion : telle n'est pas notre vision de la hiérarchie.
L'armée est au contraire, par excellence, le lieu où l'on se parle vrai parce que l'on engage sa vie. C'est cette confiance en l'institution militaire que nous appelons de nos vœux. 
 
Oui, si une guerre civile éclate, l'armée maintiendra l'ordre sur son propre sol, parce qu'on le lui demandera. C'est même la définition de la guerre civile. Personne ne peut vouloir une situation aussi terrible, nos aînés pas plus que nous, mais oui, de nouveau, la guerre civile couve en France et vous le savez parfaitement. 
 
Le cri d'alarme de nos Anciens renvoie enfin à de plus lointains échos. Nos aînés, ce sont les résistants de 1940, que, bien souvent, des gens comme vous traitaient de factieux, et qui ont continué le combat pendant que les légalistes, transis de peur, misaient déjà sur les concessions avec le mal pour limiter les dégâts ; ce sont les poilus de 14, qui mouraient pour quelques mètres de terre, alors que vous abandonnez, sans réagir, des quartiers entiers de notre pays à la loi du plus fort; ce sont tous les morts, célèbres ou anonymes, tombés au front ou après une vie de service. 
 
Tous nos aînés, ceux qui ont fait de notre pays ce qu'il est, qui ont dessiné son territoire, défendu sa culture, donné ou reçu des ordres dans sa langue, ont-ils combattu pour que vous laissiez la France devenir un Etat failli, qui remplace son impuissance régalienne de plus en plus patente par une tyrannie brutale contre ceux de ses serviteurs qui veulent encore l'avertir ? 
 
Agissez, Mesdames et Messieurs. Il ne s'agit pas, cette fois,  d'émotion sur commande, de formules toutes faites ou de médiatisation. Il ne s'agit pas de prolonger vos mandats ou d'en conquérir d'autres. Il s'agit de la survie de notre pays, de votre pays.
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Toi qui portes le béret vert , remenber des 177 français bannis par un gouvernement aux bottes de l'ennemi qui, loin de chez eux, un jour, se sont battus sur le sol de la patrie pour lui rendre sa splendeur, sa gloire et son renom.
Chez nous les aînés, loin de chez vous la relève, nous réagissons, c'est fait, si nous devons agir demain, ne nous trompons pas de cible.
Le matricule 8137 T 54 vous reçoit 5/5
United We Conquer
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Historique de l’attribution du numéro de badge commando

Un peu d’histoire :

Au centre Siroco, en Algérie, avec la réorganisation de la spécialité de fusilier marin introduisant

officiellement les certificats « commando » et « amphibie » à partir de 1947, et les besoins nouveaux

induits par la guerre d’Indochine à partir de 1946, sont développés des stages et des formations

spécifiques. Les premiers stages « commandos », d’une durée de deux mois (« Suffren », « Jean-Bart »,

Duguay-Trouin » ...) portent les noms des cours du Brevet Elémentaire (BE) dont les élèves sont issus.

Un certificat est délivré sanctionnant la réussite au stage et autorisant le port du titre d’épaule

« commando ». Le béret vert est porté sans badge (avec parfois l’insigne du commando...). Grâce à

l’action d’anciens instructeurs du stage « commando » (LV Collet, LV Artru, EV Senée), puis celle

déterminante du LV Vedel (CDT du commando « François » en Indochine), le badge spécifique des

« commandos marine » est réintroduit au cours du 1er trimestre 1950 (une première série de 1000

badges (2 X 500), numérotés, sera réalisée par la maison Arthus-Bertrand à Paris). Suite à l’intervention

de Maurice Chauvet (créateur du badge original du 1er BFMC), mention de son nom, avec la date 1943,

sera portée au dos des badges des séries suivantes à partir de juillet 1950. Ainsi près de 2000 badges,

numérotés, auront été réalisés pour l’Indochine et les premiers stages commandos. Il faut noter qu’à

cette époque les numéros de badge ne sont pas « attribués nominativement » ; seul le principe de

délivrer les 50 premiers numéros aux officiers, et les 50 suivants aux officiers-mariniers a été retenu,

avec les aléas dus au sous-encadrement des commandos, cette règle sera peu appliquée... Ces

numérotations précoces expliquent en également les doublons connus sur l’attribution de badges

numérotés. A noter que pour ces badges numérotés dits « d’Indochine », il est très difficile, sans en

connaitre l’origine et le détenteur, de les attribuer à postériori, sachant qu’il n’existe pas (ou plus...) de

listes nominatives d’attribution.

Il faudra attendre le stage commando « Yves Nonen », débutant à Siroco le 01/11/1954 et se terminant

le 01/02/1955, pour que l’attribution nominative du badge « commando » soit effective avec le numéro

001 qui revint au matelot Tonetti André ; matricule 1718 T54, affecté au commando « de Montfort »,

puis au commando « Hubert », NC n° 137 en 1958, CS 49 en 1958.

A l’issue de la guerre d’Algérie, au retour de l’Ecole des Fusiliers Marins en métropole, le premier stage

commando fut le stage « Nozières », terminé le 31/11/1962, numéros de badges attribués de 1296 à

1310. Le BE Fusilier se déroulait à Lorient et le stage commando suivait avec la réinstallation des

parcours dans la zone des cuves de Priatec. A partir du 01/03/1964, les BE « fusiliers » aptes, vont

suivre le stage commando au GROUFUMACO (créé en octobre 1963). Le stage va alors se dérouler au

Fort de Saint-Elme à la Seyne-sur-Mer, où se trouvait également le PC du GROUCO lorsque les

commandos sont rentrés d’Algérie. Les commandos resteront en garnison à Toulon et dans les forts

environnants jusqu’en 1969 ; à l’exception du commando « de Penfentenyo » qui sera déployé

temporairement sur Brest.

En 1964, la Marine décida de ne plus attribuer le numéro de badge à l’issue du stage commando

élémentaire mais à l’issue du stage commando qui suivait le cours du Cadre Spécial devenu CFOM et

actuellement BAT. Le

Le cours du BE « Houlot » (stage commando « Houlot ») 29/02/1964 fut le dernier cours à recevoir le

numéro à l’issue du stage élémentaire ; dernier numéro attribué n° 1452 Mlot Betremieux. Numéros

1453 à 1457, 05 officiers élèves (Pichon, Delbrel, Fouilland, Landivinec, Roignant) et de 1458 à 1536, le

BS 34 et le premier cours de rattrapage (Personnels fusiliers marins en Indochine (DINASSAUTS) et AFN

(DBFM), autres…)Le 16 aout de cette année 1964 étaient attribués les premiers numéros de badges à l’issue du cours de

CS n° 72. Numéro 1537 Qm CS Podeur, suivi d’un cours de rattrapage. Disparaissait également le nom

de baptême, réservé au seul BE. Pour le stage commando élémentaire, le numéro de badge fut

remplacé par un « Certificat d’aptitude commando » sous forme de diplôme et une mention dans le

livret militaire (PJ).

En 1969, à l’occasion du déménagement des commandos à Lorient (Sauf Hubert), le stage commando

élémentaire continua de se faire au sein du GROUFUMACO, sous l’appellation « STAC », toujours sans

attribution de numéros mais également sans attribution de certificat commando ni de mention au livret

militaire (double peine).

Les numéros continuaient d’être attribués à l’issue du Stage Cdo du CS mais un malheur n’arrivant

jamais seul, ces attributions cessèrent le 1er juillet 1973 au CS 99, QM CS Laforèt n° 2282.

En 1974, le CFOM 103 fut le dernier cours à porter les galons « de CS », galon de SM de 2ème classe,

grade récemment disparu, zébré de rouge (le plus beau de la Marine). Remplacé par l’ex-galon de SM

de première classe, orné de deux liserés rouges.

En 1975, il fut décidé que le stage commando se ferait de nouveau à l’Ecole des Fusiliers dans le cadre

d’un cours encadré par des instructeurs de l’école renforcés de subsistants venus du GROUFUMACO

(origine de la solde à l’air à l’école et début des discussions pour faire passer l’attribution des points

supplémentaires du brevet para au stage Cdo). De nouveau, les badges furent numérotés à l’issue de

ce stage élémentaire. 31/05/1975, STAC n° 1 – QM Lourdin, badge n° 5000.

Ainsi, de 1973 à 1975, un certain nombre de commandos ayant effectué deux stages commando

portaient un badge non numéroté. En 1975, après l’intervention de gradés du commando « Jaubert »,

chefs de groupes sans numéro de badge, encadrant des jeunes commandos numérotés, une action

initiée par le LV Boudios Cdt du Cdo « Jaubert » fut menée auprès du Cdt de l’école. L’Ecole des Fusiliers

(EV1 Cadudal chef du STAC) attribua rétroactivement des numéros aux gradés ayant effectué avec

succès le stage Cdo des CS puis CFOM à compter du CS 100 du 31/10/1973, QM CS Boullé mais

curieusement en reprenant au numéro 3001 ?? Cependant, ces numéros furent attribués par ordre

alphabétique et non au rang de sortie.

Le 31/12/1976, sortait le CBAT 113 avec malheureusement pour la spécialité, la suppression du statut

d’officier-marinier pour les QM admissibles Fusiliers et la sortie du cours en tenue équipage.

Ce fut Également l’embarquement au GROUCO du premier QM1 admissible, équipage mais toujours

chef de groupe au plan d’armement……

Ce rattrapage dura jusqu’en 1979, cours du BAT n° 122, QM1 admissible Hontebeyrie, N° de badge

3443. Les numéros 3444 à 3450 furent attribués lors de régularisations au « coup par coup » sur

décision des commandants de l’école.

(Au bilan, 5000 -3450 = 1550 numéros disponibles non attribués).

Fort de cet historique pas très simple, la chancellerie a entrepris un travail de recherche visant à faire

attribuer un numéro de badge aux personnels ayant effectué le stage commando (STAC) de 1964 à

1969 et détenteurs du certificat d’aptitude commando, n’ayant pas suivi le cours d’officier-marinier

ainsi que le personnel hors-spécialité « fusilier » affecté aux commandos et titulaires de ce certificat.

Dans un deuxième temps, l’exercice se répètera pour le personnel de même profil ayant effectué le

stage commando au GROUFUMACO de 1969 à 1975 mais non-détenteur du certificat commando.L’ANFMC (chancellerie) émettra un message à ce sujet avec ce texte en PJ et la conduite à tenir si vous

êtes dans un de ces cas. Pour toutes questions, prendre contact avec le Chancelier Francis Fauchart

06 28 93 17 37 ou le Vice-chancelier Jean- Pierre Monmasson 07 81 61 79 26.

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Commentaires
P
salut 'christian ponçon et mon pére 'il est décédé en 2006' c'est toi le bab
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C
bonjour à tous les béret vert qu'elle qu'un ce r'appelle de Christian ponçon commandos Jaubert
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P
merveilleux reportage merci pour ce travail qui nous fait revivre les moments les plus importants de notre jeunesse il m'a fallut attendre mes 86 ans pour voir toutes ces images émouvantes de vérité reflet d'une jeunesse qui honore la FRANCE
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B
JEAN-CLAUDE Vieux soldat copain EXTRA.<br /> <br /> Quel ouvrage tu viens de nous sortir Mon pote.<br /> <br /> Quel énorme travail tu t'es imposé;et,quelles recherches<br /> <br /> JE N'AI PAS ENCORE TOUT VU.C'EST MAGNIFIQUE;JE VAIS ME BRANCHER SUR TOUS CES SOUVENIRS TELLEMENT IMPORTANT POUR<br /> <br /> NOUS TOUS.NOUS NE POUVONS AVOIR OUBLIE . MERCI DE NOUS RAMENER<br /> <br /> A LA BASE MEME DE NOTRE AMITIE,QUI NOUS A PORTE A FAIRE DES CHOSE<br /> <br /> QUE SANS CETTE "AMITIE"NOUS N'AURIONS JAMAIS REALISEES .MERCI A TOI .UN COPAIN FIDELE LECTEUR. BONJOUR A MADAME. A BIENTOT
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G
Salut à toi Balissson et à tous nos frères commandos et fusiliers marins. Les numéros de badge étaient à Siroco distribués dans l'ordre du classement de sortie du stage... C'est à dire que le premier d'un stage héritait du numéro suivant celui du dernier du précédent. C'est ainsi que Pierre Rameaux, sorti major le 1er août 1957 au centre Siroco du stage issu du cours Millin a hérité (sans le savoir puisque aucun numéro n'était inscrit sur les certificats que nous recevions en ce temps-là!) du numéro 310 alors que le dernier du stage du cours Kryshine achevé le 30 juin avait reçu 309. Mais cela n'a d'importance que pour les pinailleurs! Ce qui compte c'est d'avoir eu un jour l'honneur périlleux de porter ce badge si lourd de symboles ! D'accord?<br /> <br /> Fidèlement à vous tous et à nos 55 copains tombés en Algérie!<br /> <br /> Georges Fleury, Mle 2395 T 56, ex-Cours Darasse, ex-Jaubert, ex-CS, ex-moniteur d'éducation physique, puis ex-marin après sept ans de Royale et ex-plein d'autres choses depuis... Ah, j'allais oublier : il n'y a qu'une bonne vingtaine d'années que j'ai appris que j'aurais dû faire graver le numéro 348 à l'avers de mon badge. Je ne dois pas être le seul dans ce cas là... Non?
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Commandos marine
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